Après le passage de madame NIKI à Kinshasa et à l'Est du pays, bon nombre des politicien et activistes des droit de l'homme sont en gestation ici et là afin des faire des analyses sérieuses sur le message qu'à apporté l'américaine. Parlant des élections en 2018, les États Unies nous amènent ils à la violation de la Constitution ou à la violation de l'accord de Saint Sylvestre. Les opposants quant à eux ne veulent plus de Kabila après 31 décembre 2017 et la Ceni le veut jusque 2019 mais les États Unies coupent la poire en deux pour parler de 2018 et que dit le peuple qui souhaite tant l'alternance, la fin des viols et de vols, la fin de pillages systématique de nos richesses naturelles et autres, la fin des groupes armés plus à l'Est du pays, la fin de l'impunité et à l'instauration d'un état de droit.