Après l'explication sur le thème internationale, 3 questions ont été posées aux maraîchères à savoir:
1. Qu'est-ce qui fait que la femme se décourage quand elle exerce son métier d'agricultrice?
2. Qu'est-ce que tu attends des autorités pour ce que tu fais?
3. Si un individu ou un organisme veut vous venir en aide, par ou il peut commencer?
Les femmes se sont regroupées en 3 groupes et ont essayées de répondre à ses 3 questions.
Après 30 minutes d'échange en groupe, chaque groupe s'est choisi un rapporteur pour faire la restitution ( parmi les 3 rapporteurs volontaires, une seule femme s'est montrée capable, toute les autres avaient soit peur, soit honte).
J'ai retenu pour ces trois groupes qu'ils ont le même problème qui sont par exemple:
- que la rivière soit trainer;
- à la recherche des outils de travail tels que houe, bêche, botte, machette...
- ouverture d'un cantine pour acheter les engrais naturelles et chimiques;
- possibilité d'évacuer leur produit cultivés;
- ouverture d'un cantine pour acheter les engrais naturelles et chimiques;
- possibilité d'évacuer leur produit cultivés;
- les semences;
Parmi tout les problèmes évoqués ci-haut, nous retenons qu'on peut leur donner les semences et les outils mais tant que la rivière ne sera pas trainer, elles auront toujours le problème avec leurs champs qui sont ravagés à chaque pluie.
Nous avons remarqués que les femmes ont grandement besoin d'être grouper dans une association pour faire avancer leur projet. Aussi, besoin de formation notamment en:
- alphabétisation
- recyclage des agronomes
- Groupe d'épargne et des crédits, etc.
Nous leur avons promis de repasser très bientôt afin de voir dans la mesure de nos possibilité pour les aider à résoudre leurs problèmes et voir aussi comment faire entendre leurs voix aux autorités.
Nous avons eu la présence de 88 maraîchers et maraîchères.