Nombre total de pages vues

jeudi 17 novembre 2016

SITUATION POLITIQUE ACTUELLE EN RDC



Avec le discours du chef de l'Etat prononcé le mardi 15 novembre 2016 devant le deux chambres du parlement, beaucoup des analyses se fond à ce sujet. Prononcé mardi avec un léger retard, ce discours sur l'état de la nation a suscité beaucoup de discussions au sein de la classe politique et à la rue.
Pour sa part, la Majorité Présidentielle se félicite du fait que le Président de la République dit qu'il respectera la constitution alors que celle-ci vient déjà être violée et du fait que Mr KABILA parle encore de son bilan de 15 dernières années étant positif; du coté de l'opposition, son discours par contre vient de montrer une fois de plus la mauvaise foi du Chef de l'état pour préserver la paix dans notre pays: quand il dit que le sang ne doit plus couler alors on se demande qui fait couler le sang? est-ce la population qui manifeste ou c'est la police qui tire?, quand on interdit la liberté de s'exprimer c'est cela la paix?, ou quand on parle d'une frange qui prend le pays en otage, alors que la frange dont il fait allusion était à la cité de l'union africaine et quant à la rue, ce discours est de nul et sans effet car elle n'attend que la date du 19 décembre date du fin de mandat de Mr KABILA à la tête de la RDC.
En cela, nous avons trois tendance qui démontrent que la paix est loin d'être envisager s'il n'y a pas un vrai dialogue et nous osons croire que la CENCO par l'initiative du Chef de l'état est en train de faire son travail.
Quarante-huit heure après son discours voilà que le Président de la République vient de signer un décret nomma le premier Ministre au nom de Samy Badibanga Ntita élu à la députation nationale pour la ville province de Kinshasa dans la district de Mont Amba pour le compte de l'UDPS; il fut président du groupe parlementaire de l'Udps et alliés et après avoir prit part aux travaux préparatoires il a été chasser de son parti. Nous assistons à l'époque de la fin du règne de Mobutu. Wait and see      

mercredi 9 novembre 2016

JOURNEE MONDIALE DE LA QUALITE

On a l'habitude de déplorer les impacts économiques, sociaux, humains et environnementaux de la non qualité. Nos voisins tunisiens ont depuis quelques années décidé de prendre le taureau par les cornes en instituant le 2ème jeudi du mois de novembre comme Journée Mondiale de la Qualité. Une occasion de réfléchir sur la mise en place de procédures qualité qui permettront à terme des améliorations économiques et sociales tangibles.

Qualité des produits, qualité des services ?

Les entreprises connaissent déjà les normes ISO 9000, 9001 et désormais la norme ISO 14001 qui intègre un volet environnemental. Le respect de ces normes permet de garantir au consommateur final une conformité des produits et services concernés par rapport à un certain nombre d'exigences. Il permet aussi aux différents professionnels de "parler la même langue" et mieux travailler ensemble. L'industrie a été la première à se lancer dans cette démarche, mais elle a aujourd'hui été rejointe par de très nombreux secteurs d'activités, comme par exemple les services (assurances par exemple) ou même la distribution et la restauration.
Le thème retenu pour la journée 2016 pour la célébration de cette journée est : "De la bonne gouvernance à l'excellence opérationnelle".

Qualité des relations ?

Révons un peu... à bien y réfléchir, l'amélioration de la qualité dans les productions des société humaines peut aussi passer par une amélioration de la qualité dans les relations humaines, les relations inter-entreprises, les relations entre états. A ce titre, il nous paraît intéressant de relever que les pays à l'origine de cette journée sont tous des pays communément nommés "en voie de développement" : Algérie, Lybie, Maroc, Mauritanie et Tunisie (par ordre alphabétique). Rendons-leur hommage dans ce combat pour la Qualité !
 Question 
- que faisons nous pour la qualité de nos relation?
- Qu'est-ce que nous attendons des qualité produits et services?